cynosarges

Cynosarges

Cynosarges

A gymnasium near Athens and the site where Cynic philosophers taught.

Table des matières
Emplacement, Ouvrages, et mise en page de Cynosarges
Pont
Héracléion
Autres sanctuaires
Gymnase
Palestre
Peripatos
bosquets
Histoire de l'utilisation des Cynosarges
Références et lectures complémentaires
1. Emplacement, Ouvrages, et mise en page de Cynosarges

Cynosarges était situé le long de la rive sud de la rivière Ilissos, Non loin de l’ancienne muraille de la ville (Diogenes Laertius 6.13 and [Platon] Axiochus 364d) dans le dème de Diomeia (Hégésandre de Delphes, FHG 4.413, Harpocration, Lexicon s.v. en Diomeois Heracleion; Téléphanes, FHG 4.507; Hérodien,Prononciation correcte, s.v. Cynosarges; et Steph. Byz. s.v. Cynosarges). Le débat scientifique sur l’emplacement précis et les limites de Cynosarges se poursuit, mais les preuves de structures spécifiques sont discutées ci-dessous.

Les preuves littéraires et épigraphiques attestent de nombreux sanctuaires de culte, une salle de gymnastique pour faire de l'exercice, plâtre (école de lutte), parcelles de terre louées à des particuliers pour la culture, et espace ouvert pour les activités équestres.

2. Pont

Le philosophe Diogène de Sinope aurait demandé à être jeté d'un pont près du gymnase de Cynosarges alors qu'il était sur le point de mourir (Élien, Varia Historia 8.14.3). Le pont enjambait vraisemblablement la rivière Ilissos.

3. Héracléion

La région de Cynosarges appartenait à Héraclès (Pausanias 1.19.3, Hesychius s.v. Cynosarges and Suda, svCynosarges). Un temple et un autel dédiés à Héraclès sont attestés (Pausanias 1.19.3, Suda, s.v. Es Cynosarges and s.v. Cynosarges; Apostolios, CPG 10.22; vieille école sur [Platon] Axiochus 364a). A proximité il y avait des autels pour Alcmène et Iolaus, La mère et la compagne d'Héraclès respectivement, et pour Hebe, son épouse dans l'Olympe (Pausanias 1.19.3).

4. Autres sanctuaires

Toutes les autres divinités associées à Cynosarges sont étroitement liées à Héraclès lui-même. Il est attesté un sanctuaire à Antiochus, Fils d'Héraclès et héros éponyme de la tribu des Antiochides (SEG III 115, 116, and 117), et un sanctuaire de Diomos, le héros éponyme du dème Diomeia et fondateur du festival pour Héraclès (IG II2 1247). Une statue et un culte à Philippe II de Macédoine, dont la famille aurait été fondée par Héraclès, a été créé à Cynosarges au cours des années 330 avant notre ère (Clément d’Alexandrie,Protrepticus 4.54.5). Un sanctuaire d’Hermès a peut-être aussi existé (Palatine Anthology 6.143), Mais les preuves sont minces.

5. Gymnase

Pendant les périodes classique et hellénistique, le gymnase de Cynosarges était probablement un grand, Espace ouvert dédié à l’entraînement sportif et militaire. Aucune des sources littéraires ou épigraphiques n'atteste de gymnase construit à Cynosarges durant cette période. Excavations carried out in 1896-1897 by the British School at Athens uncovered a building of the Archaic period and a much larger building of the 2nd century CE on the southern bank of the Ilissos. Les résultats des fouilles n'ont jamais été entièrement publiés, mais J. Travlos a associé ces bâtiments à Cynosarges et à un gymnase construit par l'empereur romain Hadrien (Pausanias 1.18.9). L'opinion des universitaires reste divisée sur cette identification, certains préférant un emplacement plus en aval.

6. Palestre

Une école de lutte est attestée pour Cynosarges (Élien, Varia Historia 8.14.3 and Diogenes Laertius 6.30.8). La palaistra était peut-être un bâtiment ou simplement un espace ouvert délimité pour l'entraînement aux sports de combat comme la boxe et la lutte.

7. Peripatos

An area for walking is mentioned briefly in the pseudo-Platonic dialogue Axiochus (372a).

8. bosquets

Baux pour les propriétés appartenant à Heracles (Agora XIX L6) préciser qu'un certain nombre de parcelles de terres arables dans la région de Cynosarges ont été louées à des particuliers au profit du culte d'Héraclès au cours du IVe siècle avant notre ère. La taille des parcelles elles-mêmes n'est pas claire, buy the total value of the land described in the surviving leases has been estimated at approximately 2 talents.

9. Histoire de l'utilisation des Cynosarges

L'origine du nom "Cynosarges" semble avoir été un mystère même dans l'Antiquité. D'après une histoire souvent racontée, un chien "blanc" ou "rapide" a arraché les viandes sacrificielles de l'autel d'Héraclès (par exemple., Hésychius, s.v. Cynosarges Suda, s.v. Es Cynosarges and Cynosarges, et Eustathe, Commentary on Homer’s Odyssey 2.11 p. 1430.54-59). Les installations sportives, cultes, éducatif, and military uses of the area continued from the Archaic period to the siege of Athens in 200 BCE by Philip V of Macedon, dont l'armée campait à Cynosarges.

Au sixième siècle avant notre ère, Cynosarges functioned as a cult center for Heracles and as a gymnasium used by the nothoi or offspring of mixed Athenian/non-Athenian parentage (Démosthène, Against Aristagoras II 214, Harpocration, Lexicon s.v. notheia and cf. Suda, s.v. Antisthenes). The most famous of these nothoi was Themistocles (Plutarque, Themistocles 1.3), who allegedly encouraged his young friends who were not nothoi to use the grounds at Cynosarges themselves in order that there would be a blurring of the distinction.

There was also a connection between the nothoi and the cult of Heracles. The parasitoi who made offerings monthly along with the priest of Heracles were chosen from the nothoi (Athénée, The Wise Dinner Companions 6.234d-e). Heracles himself is said to have been considered a nothos as his mother was the mortal, Alcmène, et son père le dieu Zeus (Plutarque, Themistocles 1.3).

Cynosarges was also the site of the Heracleia, dans lequel Héraclès a reçu des sacrifices en tant que dieu olympien (Aristophanes Frogs 650, SEG XLII 50, Demosthenes On the False Embassy 125, IG II2 1247, Harpocration, Lexicon s.v. Heracleia, et Suda, s.v. Heracleia). Un prêtre de Diomos, le héros éponyme du dème Diomeia et le fondateur de ces rites pour Héraclès, a également participé à la direction du festival (IG II2 1247.16-24. Polémon, en. 78).

Cynosarges ne semble jamais avoir attiré le niveau de discussion et d'étude philosophiques organisées comme le Lycée et l'Académie, but it was commonly associated with Cynic philosophy. Socrates appears on his way out to Cynosarges in the pseudo-Platonic dialogue Axiochus (364a1-b1), but it is Socrates’ student Antisthenes whose association with Cynosarges would have a more lasting legacy. Antisthenes was reportedly himself a nothos –his mother was a Thracian–and thus had frequented the gymnasium since his youth (Suda, s.v. Antisthenes). After Socrates’ death in 399 BCE, Antisthenes taught a philosophy in Cynosarges that emphasized simplicity and austerity in life. It is debatable whether Antisthenes taught Diogenes of Sinope or not, but Diogenes is said to have taught and lived in the area of Cynosarges (Diogène Laërce, 6.13, 6.30.8; Élien, Varia Historia 8.14.3). Because Cynicism was more a way of life than a formal study of philosophy, aucune école organisée ne semble s'être développée à Cynosarges, qui est absent des listes d'écoles philosophiques qui faisaient partie du programme régulier des jeunes hommes pendant les périodes hellénistique et romaine.

Un autre groupe associé à Cynosarges s'appelait The Sixty, qui semblent avoir été un club de comédie vaguement organisé qui s'est réuni dans le sanctuaire d'Héraclès (Athénée, The Wise Dinner Companions6.260b). Leur renommée en racontant des blagues s'était propagée aussi loin au nord que la Macédoine sous le règne de Philippe II (360-336 BCE), qui leur aurait envoyé une énorme somme d'argent en échange d'un compte rendu écrit de leurs blagues (Athénée, The Wise Dinner Companions 14.614).

Cynosarges was also a critical strategic point in the Persian invasion of Attica in 480 BCE. Après leur défaite à Marathon, la flotte perse aurait navigué dans le golfe Saronique et tenté un débarquement dans la baie de Phaleron à l'ouest d'Athènes. Hérodote (6.116) nous dit que les Athéniens victorieux ont marché rapidement du sanctuaire d'Héraclès à Marathon à un autre sanctuaire d'Héraclès à Cynosarges (around 26.5 miles). La vue des troupes athéniennes déployées pour la bataille à quelques kilomètres seulement a fait battre en retraite les Perses.

Cynosarges a également été utilisé pour l'entraînement militaire (Diogenes Laertius 6.30.8 and SEG III 115, 116, 117) et exercices équestres, comme l'atteste l'orateur Andocides (On the Mysteries 61), qui a dit qu'il s'était cassé la clavicule dans un accident d'équitation là-bas.

La zone a été utilisée comme camp par Philippe V lors de son échec, but destructive siege of Athens in 200 BCE (Diodorus Siculus 28.7.1 and Livy 31.24.17-18). Since the sources mention no further activity in Cynosarges after 200 BCE, beaucoup pensent que la région ne s'est pas remise de cette catastrophe.

dix. Références et lectures complémentaires
Billot, M.-F. « Le Cynosarge. Histoire, mythes et archéologie,” in Dictionnaire des Philosophes Antiques, R. Goulet, éd. (Paris 1994).
Billot, M.-F. “Antisthène et le Cynosarges dans l’Athènes des Ve et IVe siècles,” in Le Cynisme ancien et ses prolongments: Actes du Colloque International du CNRS (Paris 22-25 juillet 1991). M.-O. Goulet-Cazé et R. Goulet, eds. (Paris 1993) 69-116.
Walbank, M. « Baux de terres publiques. La location des terres publiques en Attique et dans les territoires contrôlés par Athènes,” in The Athenian Agora vol. Inscriptions XIX (Princeton 1991)
Wycherley, OFFRE. Les pierres d'Athènes. Princeton1978.
Voyages, J. Dictionnaire illustré de l'Athènes antique (New York 1971).
Judeich, J. Topographie von Athen2 (Berlin 1931). (Berlin 1931).
Stuart, J. et n. Revet, The Antiquities of Athens. (London 1762 [repr. New York 1968])
Informations sur l’auteur

William Morison
Messagerie: [email protected]
Université d’État de Grand Valley

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